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mercredi 26 août 2009

Le jeu d'échecs ; Son origine et son évolution - Ses Champions du Monde - La littérature - Le cinéma - La musique - L'arbitrage - Les grands Tournoi



Le mythe du brahmane Sissa
La légende la plus célèbre sur l'origine du jeu d'échecs raconte l'histoire du roi Belkib (Indes, 3 000 ans avant notre ère) qui cherchait à tout prix à tromper son ennui. Il promit donc une récompense exceptionnelle à qui lui proposerait une distraction qui le satisferait. Lorsque le sage Sissa, fils du Brahmine Dahir, lui présenta le jeu d'échecs, le souverain, enthousiaste, demanda à Sissa ce que celui-ci souhaitait en échange de ce cadeau extraordinaire. Humblement, Sissa demanda au prince de déposer un grain de blé sur la première case, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, et ainsi de suite pour remplir l'échiquier en doublant la quantité de grain à chaque case. Le prince accorda immédiatement cette récompense en apparence modeste, mais son conseiller lui expliqua qu'il venait de signer la mort du royaume car les récoltes de l'année ne suffiraient à s'acquitter du prix du jeu. En effet, sur la dernière case de l'échiquier, il faudrait déposer 263 graines, soit plus de neuf milliards de milliards de grains (9 223 372 036 854 775 808 grains précisément), et y ajouter le total des grains déposés sur les cases précédentes, ce qui fait un total de 18 446 744 073 709 551 615 grains (la formule de calcul est alors 264-1) !

Légende grecque
Une autre légende place l'invention du jeu durant la Guerre de Troie. Palamède, l'un des héros grecs, aurait inventé le jeu pour remonter le moral des troupes durant le siège de la cité en 1240 av. J.-C. C'est cette origine qui amènera les créateurs de la première revue échiquéenne à la nommer Le Palamède. D'autres personnages du monde grec se sont vu attribuer l'invention des échecs. On peut notamment citer Pyrrhus.

Les recherches historiques
L’origine du jeu d’échecs reste un sujet controversé. En effet, comme l'écrit Richard Eales dans son livre CHESS, The history of a game, la recherche des origines des échecs est similaire à la recherche du « chaînon manquant » dans l'évolution humaine.

On admet généralement que son ancêtre connu le plus ancien est un jeu indien, le chaturanga. Ses traces les plus anciennes se repèrent entre les Ve et VIIe siècles. Deux passages de textes sanskrits mentionnent l'existence du jeu sans donner d'autres informations. Il s'agit de Vasavadatta, écrit en 600 par Subandhu qui évoque des joueurs d'échecs, et surtout de Harshascharita, écrit par Bana vers 625. Il décrit The Aashtapada, un échiquier de 64 cases, qui permet d'apprendre le Chaturanga, le nom sanskrit des échecs.
Ces livres, suivis de deux autres ouvrages écrits en 850 par Ratnakara et Rudrata à la fin du neuvième siècle, permettent de prendre connaissance des pièces du jeu qui sont celles d'une armée : fantassins,
cavaliers, chars et éléphants.
L'origine de ces deux auteurs dans le Nord-Ouest du royaume du Cachemire suggère ainsi une transmission possible du bassin central du Gange vers l'
Iran (la Perse).
Au-delà de cette époque, certains supposent que le jeu a évolué à partir de jeux de parcours indiens, d’autres lui prêtent un ancêtre extérieur en
Chine ou en Asie centrale. Un jeu très similaire est également connu dans la civilisation chinoise, le xiangqi, dont les plus anciennes traces remonteraient à 569 (il y a une controverse à ce sujet) ; son existence est attestée en 800.

Le jeu se propage jusqu’en Perse aux alentours de l’an 600 où il devient le chatrang. Lorsque les Arabes envahissent la Perse, ils l’adoptent sous le nom de shatranj. Les échecs connaissent alors un développement remarquable. C’est au cours des IXe et Xe siècles qu’apparaissent les premiers champions et les premiers traités. Les pièces sont stylisées en raison de l’interdiction de représenter des êtres animés. On retrouve alors :
le roi (
Shâh, c'est lui qui donne son nom au jeu) se déplace d’un pas dans toutes les directions ;
le conseiller (Farzin ou
Vizir) dont le mouvement est limité à une seule case en diagonale ;
l’
éléphant (Fil, cf. sanskrit pīlu) avec un déplacement correspondant à un saut de deux cases en diagonale ;
le
cheval (Faras), identique au cavalier moderne ;
le (Roukh), semblable à la tour actuelle.
le
soldat (Baidaq, cf. sanskrit padāti : "piéton, fantassin"), l’équivalent du pion, mais dépourvu du double pas initial.
(Le Roukh était parfois représenté comme un char de guerre. Les Arabes y voyaient un général commandant l’armée. Mais son sens littéral reste obscur. Il semble que pour les Arabes, ce mot n’avait pas d’autre sens que celui de désigner cette pièce au Shatranj, un peu comme le mot rook pour les anglophones aujourd’hui. Le lien étymologique avec le
sanskrit ratha : "char" est peu évident.Une théorie séduisante donne l’origine du mode de déplacement des pièces par les différents trajets élémentaires possibles depuis le centre d’un espace de cinq cases sur cinq cases. Elle donne une bonne explication au déplacement curieux du cavalier (F = Faras), le seul à être resté « sauteur » et à courte portée. Elle laisse au roi (S = Shâh) un déplacement plus limité (quatre cases) mais qui correspond au déplacement de son homologue chinois (le « général »). Elle donne aussi à penser que le char (R = Roukh) devait être primitivement une pièce « courte » comme les autres et se déplaçait par saut de deux cases selon colonne ou rangée.


Arrivée en Europe et évolution
L’arrivée des échecs en Europe se fait sans doute par l’Espagne musulmane aux alentours de l'an mille, voire l’Italie du sud. (Il est démontré que le jeu que Charlemagne aurait reçu de la part du calife Haroun al-Rachid, conservé à la Bibliothèque Nationale de France, a été en fait fabriqué près de Naples à la fin du XIe siècle)[réf. nécessaire]. En 1010, sa première mention écrite en Occident a été trouvée dans un testament du comte d'Urgel, en Catalogne.
Dès son arrivée dans la Chrétienté, l’échiquier et les pièces s'occidentalisent :
le plateau devient bicolore avec les cases rouges et noires (qui deviendront plus tard blanches et noires) ;
le vizir devient fierge (ou vierge), puis reine et/ou
dame (il est difficile de déterminer lequel des deux termes prévalait — sans doutes étaient-ils utilisés indifféremment) ;
l'éléphant (al fil en
arabe, qui reste alfil en espagnol aujourd'hui) devient aufin, puis fou (bishop : "évêque" en anglais) ;
le roukh arabe devient roc (ce nom donnera rook en anglais, le verbe « roquer » en français et désignera la tour d'échecs en
héraldique), puis tour vers la fin du XVIIe siècle (les tours de guet étant souvent placées en hauteur).
Dans certaines régions d'Europe, le double pas initial du pion est pratiqué. Enfin, des règles permettent au roi ou à la reine/dame d'effectuer un saut à deux cases (sans prise) à leur premier mouvement. Ce dernier point est la différence principale avec les règles du Shatranj des pays musulmans.
Mais l’évolution la plus importante a lieu à la fin du
Moyen Âge, vers 1475 en Espagne lorsque les mouvements limités de la reine/dame et du fou sont remplacés par ceux que nous connaissons actuellement. Le jeu devient tellement rapide qu’on juge préférable d’annoncer « Échec au roi » et « Gardez la reine ».
Les joueurs de cette époque nomment ces nouvelles règles : « eschés de la dame » ou « jeu de la dame enragée ».
Pour parer aux effets dévastateurs de ces pièces aux pouvoirs renforcés, le
roque est inventé vers 1560 et, progressivement, il remplace le saut initial du roi ou de la reine/dame qui deviennent obsolètes. Vers 1650, on peut considérer que les règles du jeu moderne sont à peu près établies. Si les premiers livres traitant des échecs remontent à l'époque arabe, la stabilisation des règles en Europe donne naissance à une littérature théorique très riche et on observe notamment l'élaboration des premiers systèmes d'ouverture.

Les échecs modernes
L’aspect des pièces le plus courant aujourd’hui, le style « Staunton », date de 1850. C’est également durant la seconde moitié du XIXe siècle qu’émergent les échecs modernes. Les premières compétitions internationales ont lieu, les progrès théoriques de l’art de la défense mettent un terme à l’ère romantique.
Au
XXe siècle, l’URSS en assure une promotion très active, le considérant comme un excellent outil de formation intellectuelle. C’est, en outre, une vitrine de la formation intellectuelle soviétique qui leur permet de dominer largement une discipline prestigieuse.
Durant la
guerre froide, l’apparition de Bobby Fischer, le premier Occidental à défier les Soviétiques au plus haut niveau puis de Viktor Kortchnoï, dissident Soviétique qui parvint 2 fois en finale du championnat du monde, donnent à cette compétition une véritable dimension politique. Plus tard, les tensions entre conservateurs russes et partisans de la perestroïka se cristalliseront autour de l’affrontement entre Anatoly Karpov et Garry Kasparov.
À la fin du
XXe siècle, la confusion concernant le titre de champion du monde (voir plus bas) amène l’attention médiatique à se concentrer sur l’opposition entre l’humain et la machine, comme en témoigne le retentissement médiatique des matchs entre Kasparov et Deep Blue. Les femmes font également leur apparition dans un domaine longtemps considéré quasi-exclusivement masculin. Ainsi, depuis avril 2003, Judit Polgár figure-t-elle régulièrement parmi les dix meilleurs joueurs mondiaux du classement de la Fédération internationale des échecs.
Depuis janvier 2000, les échecs sont devenus, en France, un
sport reconnu par le Ministère de la Jeunesse et des Sports. De nombreuses compétitions sportives sont organisées dans le monde entier. Depuis le début de l'année 2008, l’entrée de ce sport aux Jeux olympiques est discutée.
L’actuel champion du monde est l’Indien
Viswanathan Anand qui a succédé au Russe Vladimir Kramnik.


Littérature

Ce jeu de stratégie si subtil fascine et a inspiré certains auteurs :
Le Joueur d'échecs de Stefan Zweig
5150 rue des Ormes de Patrick Senécal
La Défense Loujine de Vladimir Nabokov
Le Tableau du maître flamand d'Arturo Pérez-Reverte
La Ville est un échiquier (1965), John Brunner
Le Huit (1990), Katherine Neville
L'Échiquier du mal (1989), Dan Simmons
Le Gambit des étoiles (1958), Gérard Klein
Fous d'échecs de Serge Rezvani
Un combat de Patrick Süskind, nouvelle relatant une partie où le gagnant n'est pas celui qu'on pense, illustrant l'importance de la psychologie dans le jeu.
Zeitnot de Ed Tourriol et Eckyo, manga français se déroulant dans le milieu des clubs d'échecs lycéens.
Le jeu d'échecs est également mentionné pour son pouvoir évocateur dans de nombreux livres :
De l'autre côté du miroir : Alice participe à une partie « grandeur nature » ;
Le Neveu de Rameau de Diderot : dans l'incipit, Diderot fait référence au Café de la Régence et à ses joueurs d'échecs de l'époque, notamment Légal (connu pour son mat) et Philidor (connu pour la défense du même nom)
Isaac Asimov a mis en scène les échecs dans plusieurs de ses romans et nouvelles, notamment Cailloux dans le ciel où ce jeu est présenté comme une des rares choses qui n'ont pas changé au cours des millénaires.
La Joueuse d'échecs de Bertina Henrichs. Une modeste femme de ménage grecque découvre la puissance du jeu d'échecs.
Cinéma
Plusieurs films ont également été réalisés autour de la thématique du jeu d'échecs :
La Fièvre des échecs de Vsevolod Pudovkin, 1925
Le Septième sceau de Ingmar Bergman, 1957, où le chevalier propose une partie d'échecs à la Mort en espérant retarder l'échéance fatidique.
La légende de Zatoïchi: Voyage en Enfer de
Kenji Misumi avec Shintaro Katsu, 1964
Les Joueurs d'échecs (Shatranj Ke Khiladi), de Satyajit Ray, avec Amjad Khan, Sanjeev Kumar, Saeed Jaffrey, 1977
L'Échiquier de la passion de Wolfgang Petersen avec Bruno Ganz, 1979
Jouer sa vie de Gilles Carle, 1982
La Diagonale du fou de Richard Dembo, 1984
Face à face (Knight Moves), thriller de Carl Shenkel avec Christophe Lambert, 1991
À la recherche de Bobby Fischer avec Laurence Fishburne, 1993
La Partie d'échecs avec Catherine Deneuve et Pierre Richard, 1994
La Défense Loujine de Marleen Gorris avec John Turturro et Emily Watson, 2001
Geri's Game, court-métrage d'animation produit et réalisé par les studios Pixar, 1997
On peut également noter de nombreuses apparitions du jeu d'échecs dans des films où sa présence n'est pas un ressort dramatique mais plutôt de l'ordre du symbole :
From Russia with love, 1963, où le méchant est un génie des échecs et de la stratégie, et travaille pour le SPECTRE contre James Bond.
K, d'Alexandre Arcady avec Patrick Bruel, Isabella Ferrari (1996)
Blade Runner de Ridley Scott : le répliquant met son créateur échec et mat ;
Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman : un personnage joue avec la mort ;
Les Visiteurs du soir de Marcel Carné ;
L'Affaire Thomas Crown de Norman Jewison : le suspect et celle qui le traque s'affrontent et se séduisent au cours d'une partie. Le personnage joué par Faye Dunaway fait perdre ses moyens au personnage joué par Steve McQueen en le provoquant par différents gestes et poses langoureux.
2001, l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, grand amateur d'échecs, dans lequel le super-ordinateur CARL (HAL 9000) l'emporte sur l'astronaute David Bowman.
Harry Potter à l'école des sorciers de Chris Colombus: Ronald Weasley joue avec Harry aux échecs version sorcier, avec des pièces animées par magie, puis doit diriger une partie d'échecs grandeur nature, qui est une des épreuves gardienne de la pierre philosophale.
Revolver de Guy Ritchie, jeux d'échecs et arnaques (2005)
Musique

Le ballet Checkmate (Echec et mat) a été écrit par le compositeur britannique Arthur Bliss en 1937 et met en scène les pièces échiquéennes jusqu'à l'assaut final du roi noir.
La
comédie musicale Chess (1986) sur une musique de Björn Ulvaeus et Benny Andersson (anciens membres d'ABBA) et des paroles de Tim Rice met en scène un triangle amoureux entre deux participants à un championnat du monde d'échecs et une femme qui tente de séduire l'un et tombe amoureuse de l'autre.
Les champions du monde

Wilhelm Steinitz (1886 - 1894)
Emanuel Lasker (1894 - 1921)
José Raúl Capablanca (1921 - 1927)
Alexandre Alekhine I (1927 - 1935)
Max Euwe (1935 - 1937)
Alexandre Alekhine II (
1937 - 1946, mort du Champion du monde)

Entre 1946 et 1948, il n'y eut pas de champion du monde. La
FIDE organisa les nouveaux championnats du monde à partir de 1948.

mikhaïl Botvinnik I (1948 - 1957)
Vassily Smyslov (1957 - 1958)
Mikhaïl Botvinnik II (
1958 - 1960)
Mikhaïl Tal (1960 - 1961)
Mikhaïl Botvinnik III (
1961 -1963)
Tigran Petrossian (1963 - 1969)
Boris Spassky (1969 - 1972)
Bobby Fischer (1972 - 1975)
Anatoly Karpov (1975 - 1985)
Garry Kasparov (1985 - 1993)
En 1993, Garry Kasparov provoqua une scission avec la FIDE et créa sa propre fédération, la PCA (Professional Chess Association). Il y eut alors deux champions du monde, l'un dit « classique », se revendiquant de la lignée des matchs entamée par Steinitz, l'autre dit « FIDE » vainqueur du « Championnat du monde FIDE », mais dont les tenants étaient, pour certains, des joueurs de seconde catégorie (ils ne surent pas s'imposer lors des grands tournois mondiaux suite à leur titre).

De
1993 à 2006 :
Champions du monde « classiques » :
Garry Kasparov (1993 - 2000)
Vladimir Kramnik (2000 - 2006)

En 2006 eut lieu le
match de réunification des deux titres.

À compter de 2006, champion du monde « unifié » :
Vladimir Kramnik (2006 - 2007)
Viswanathan Anand (2007 - )
Les grands tournois mondiaux

Les plus grands événements mondiaux sont désormais regroupés depuis la saison 2004-2005 au sein de l'ACP Tour, mise en place par l'ACP.
Cadence de jeu
Une « cadence de jeu » est composée d'une ou plusieurs périodes. Une « période » est définie par un nombre minimal de coups à jouer en un certain temps. La fin d'une période est appelé « contrôle de temps ».
La cadence usuelle des parties de tournoi est le « 40 coups / 2 heures, 1 heure KO ». La première période (« 40 coups / 2 heures ») donne deux heures à chaque joueur pour qu'il joue au moins quarante coups, sinon il perd la partie. La seconde période (« 1 heure KO ») lui ajoute une heure pour terminer la partie. En clair, chaque joueur a trois heures pour jouer sa partie. Cependant, si après deux heures il n'a pas effectué quarante coups, il perd.

Le temps imparti à chacun des joueurs permet de répartir les parties en grandes classes :

blitz (de l'allemand « éclair ») : partie de moins de 15 minutes par joueur
partie rapide : partie de 15 à 60 minutes par joueur
en
France, à partir de 61 minutes par joueur, la partie est considérée comme longue, et compte pour le classement Elo national.
en
Suisse, c'est à partir de 90 minutes par joueur que la partie peut être prise en compte pour le classement Elo.
l'Elo international FIDE, quant à lui, est comptabilisé par une cadence minimale de 1h30 + 30 secondes par coups (cadence fischer.)
les parties sans limite de temps ou pour lesquelles le temps de réflexion se compte en jours sont généralement réservées aux échecs par correspondance (la cadence généralement adoptée par l'ICCF est de 10 coups / 50 jours.)
L'arbitrage
Comme dans tout sport, il est nécessaire dans les compétitions d'avoir un arbitrage garantissant une certaine correction.
On peut classer les arbitres en deux grandes catégories :
Les arbitres de niveau national avec plusieurs gradations selon leur avancement.
Les arbitres reconnus par la FIDE. Tout d'abord, les arbitres FIDE (F.A.), puis les arbitres internationaux (I.A.).
En France, il existe quatre niveaux d’arbitres (d’AF4 à AF1, le niveau plus élevé). Il existe également un titre d'Arbitre Fédéral Jeune pour les 12-16 ans.
Le site de la
Fédération Française des Échecs propose une rubrique arbitrage[10].
Parties célèbres

Partie immortelle, jouée par Adolf Anderssen et Lionel Kieseritzky en 1851
La Toujours Jeune, jouée par Adolf Anderssen et Jean Dufresne en 1852
Partie de l'opéra, jouée par Paul Morphy (les Blancs), le duc de Brunswick (les Noirs) et le comte Isouard (les Noirs) en 1858
Lasker - Bauer, jouée par Emanuel Lasker et Johann Bauer en 1889
Maróczy - Tartakover, jouée par Géza Maróczy et Xavier Tartakover en 1922
Partie du siècle, jouée par Donald Byrne et Bobby Fischer en 1956

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